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COMMENT TOUT A COMMENCE

 

Passionnés de théâtre, Evelyne, Arnaud, Jean-Paul décident en 2006 de poursuivre une histoire entamée en 2005 autour de la pièce de Christian Rullier « Le Fils ».

S’appuyant sur un parcours personnel propre, un attachement particulier à jouer des textes contemporains et le besoin de partager avec le public notre amour d’un texte, la découverte d’un auteur, c’est tout naturellement que nous nous sommes retrouvés autour d’un projet qui nous tenait à coeur : la création de notre compagnie.

 

C'est ainsi que la mitrailleuse à gifles est née !

Drôle de nom pour une compagnie de théâtre ! 

Provocateur, dérangeant penseront certains. Aucunement. Juste un clin d’oeil à Henry Michaux. Ecrivain, poète et peintre d’origine belge d’expression francophone. A la recherche d’un nom, d’une identité pour notre compagnie, notre choix s’est porté sur le titre d’un de ses écrits, « la mitrailleuse à gilfes ». Ce nom nous a tout de suite « claqué » aux oreilles, interpellé.

 

Interpeller, susciter la curiosité du spectateur, l’amener à se questionner sur les textes que nous jouons, telle est notre ambition.

 

La compagnie a été sélectionnée à deux reprises au Festival de théâtre amateur de Paris  au Studio Raspail pour les deux pièces suivantes :

  • Un paysage sur la tombe de Fanny Mentré

  • Bent de Martin Sherman

 

Aucun membre de la compagnie (membres fondateur, membres du bureau, adhérents) ne perçoit de rémunération.

Les bénéfices éventuels produits par les recettes des spectacles sont injectés en totalité dans le compte de la compagnie et sont utilisés, au même titre que les cotisations mensuelles des adhérents, pour couvrir les frais de fonctionnement de la compagnie (location de salle de spectacles, costumes, matériel, accessoires, décors, paiement des droits d’auteur, de traduction …).

 

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